lundi 20 janvier 2014

La nuit des blogs vivants

Bonjour tout le monde !

Je ne pensais pas devoir réactiver ce blog si tôt. Le fait est que je suis reparti pour de nouvelles aventures au Canada et que je me devais de vous en parler. Après avoir visité une infime partie de l'Ouest canadien (Dieu que ce pays est grand), me voilà cette fois-ci à l'Est, dans la petite ville de Rouyn-Noranda, où je m'apprête à effectuer un stage en laboratoire de 6 mois à l'Institut de recherche sur le forêts dans le cadre de ma deuxième année de Master.


Pour cette nouvelle saison du Souffle du Chinook (ce titre n'a plus vraiment de sens, mais je le garde parce que je l'aime bien), j'essaierai de vous proposer plus de photos à intervalle plus régulier, avec sans doute une diminution de la quantité de texte. J'essaierai de vous faire vivre au mieux cette nouvelle expérience canadienne, dans un endroit radicalement différent de Calgary mais qui laisse présager un tas de nouvelles belles découvertes.

Au moment où je poste ce billet, je suis arrivé à Rouyn depuis un peu moins de deux semaines, je commence un petit peu à connaître cette petite ville, construite autour du lac Noranda (le Québec, à l'instar de la méduse, c'est 99% d'eau). Première différence avec Calgary... La neige ! De la neige partout, tout le temps, et des tonnes et des tonnes de neige !







 (pardonnez la faible résolution des images, quelqu'un avait sournoisement
changé les réglages de mon appareil photo sans que je ne m'en aperçoive).



La ville de Rouyn-Noranda (qu'on appelle généralement juste Rouyn) a été construite autour d'une mine de cuivre.

Avouez que vous êtes jaloux

Mais ce qui m'a fait venir ici, c'est l'opportunité de faire un stage, que je réalise à l'UQAT, pour Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (à vos souhaits), d'une taille plutôt impressionnante pour une ville de seulement 30,000 habitants.




J'habite juste à côté de l'université, dans des chambres universitaires qui renvoient les résidences du CROUS au rang de cage à lapin, et qui ont l'avantage d'être situé à une cinquantaine de mètres de mon lieu de travail.



Rouyn, c'est quand même une ville un peu particulière, je vous en reparlerai lors du prochain billet. En attendant, voici un petit avant-goût.


Terminons ce billet sur cette note absurde, dites-vous que Le Souffle du Chinook et de retour, et portez vous bien d'ici le prochain billet.